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 [PHIL] Pensées, Tome I : Interrogations et Philosophies, Par Gnomius Ombrageâme

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Gnomius Ombrageâme

Gnomius Ombrageâme


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MessageSujet: [PHIL] Pensées, Tome I : Interrogations et Philosophies, Par Gnomius Ombrageâme   [PHIL] Pensées, Tome I : Interrogations et Philosophies, Par Gnomius Ombrageâme EmptyMer 14 Jan - 18:39

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Pensées

[PHIL] Pensées, Tome I : Interrogations et Philosophies, Par Gnomius Ombrageâme 1-ache10

Tome I : Interrogations et Philosophies



Par Gnomius Ombrageâme



Remerciements


Je souhaiterai remercier l'honorable Commandant Belgarth, sans qui je n'aurai pas eu la chance d'aller combattre en Draenor aux côtés des Forces de l'Alliance.

A ma chauve-souris Tahris, restée seule à Forgefer. J'espère qu'il y aura assez de souris pour toi dans la cave ma belle.


Le mot de l'auteur :

Ombrelune est une belle région, propice à la réflexion lorsqu'il n'y a pas de combats. Alors que je contemplais l’immensité de la voûte céleste, l'idée de continuer l’œuvre philosophique entamée il y a peu, serait une bonne solution pour lutter contre l'ennui de l'entre-combats. Contrairement à l'ouvrage précédent, il n'y aura pas ici d'interventions de Madame Sculpterreur et du Père Bartholomew McCarth. Ne prenant que mon intellect pour témoin, j'ai écrit le manuscrit suivant. Ici, point de chapitre, mais des questions pouvant être existentielles. En effet, tout en réfléchissant à quoi écrire, des questions me sont parvenues, alors, j'ai décidé de les utiliser à bon escient. Pour répondre à ces questions, je m'appuie à chaque fois de deux paragraphes représentant deux idéologies différentes : la première est celle de Madame Sculpterreur, que je développe un peu plus, la seconde est une variante de ce que pourrait être la pensée du Père McCarth, adaptée par un philosophe non-ecclésiastique de l'Alliance, par exemple.
Les avis exprimés ici n'ont pas nécessairement un rapport avec ce que je pense réellement : ceci est une réflexion menée à partir de « Et si je pensais comme cela... ». Je vous remercie également de prendre le temps de lire cet écrit. Asseyez-vous confortablement, prenez une tasse de thé en provenance de Pandarie à côté de vous, et appréciez votre lecture.




Questionnements


[PHIL] Pensées, Tome I : Interrogations et Philosophies, Par Gnomius Ombrageâme Wow_mo10
Représentation de l'Inquisitrice Blanchetête de la Croisade Écarlate

I ) Existe t-il ou non, quelque chose de sacré qui devrait être l'ultime fondement des normes du Bien et du Mal ? Et si non, quel est le fondement de la morale ?

Le réel se compose du visible et de l'invisible et ce dernier est sacré, absolu, ultime, sans défaut, idéal, divin. Tout le visible est dans une tension, un désir, un cheminement vers l'invisible, mais s'arrête à mi-chemin entre le médiocre et l'idéal à cause d'une pesanteur qu'il faut attribuer en dernier ressort à la matière. La vie humaine se meut au milieu d'un inventeur d'objets et d'événements, mais chacun est appelé à dépasser le profane et le médiocre pour s'élever au sacré. Les valeurs ne sont pas inventées par les races mais elles existent, autant et plus que les choses et les événements. On les découvre et on les imite, par amour plus que par devoir. Ces valeurs sont le Bien, le Beau, le Vrai, le Juste. On ne doit pas s'attacher à ce qui est matériel et médiocre, mais en faire usage, comme un pont, pour aller vers l'absolu. La volonté collective n'est pas le fondement des valeurs. L'arithmétique des plaisirs n'est pas le fondement des valeurs.

Ce discours peut paraître emphatique et trop mystique. En face des races intelligentes, il n'y a qu'un réel profane que la science et la magie étudient et que la technique transforme pour le bien collectif desdites races. Les grandes valeurs ont un unique fondement:le plaisir qui compose la collectivité considérée ; il ne s'agit pas ici de plaisirs sexuels, mais plus ce que l'on pourrait appeler « le bonheur ». Ce petit phénomène qui nous est commun avec les autres vivants sensibles est la seule base du Bien. Est bien ce qui comparé aux autres aménagements possibles offre un maximum de plaisirs prévisibles et un minimum de douleurs prévisibles pour les personnes considérées. Il ne faut pas compter sur le réel ou sur la nature pour établir ce qui est bien. Il faut se contenter d'une arithmétique des plaisirs et des douleurs. Par ailleurs comme les races intelligentes seront sans cesse plus aptes à repérer ce qui est collectivement utile lorsqu'on ne se substitue pas à leur jugement, la volonté générale, exprimée par le débat et le vote, peuvent fonder l'ordre social.

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L'Allée des Héros, à l'entrée de la ville de Hurlevent

II ) Les lois devraient-elles s'inspirer de ce qui est sacré ou découler de la volonté collective ?

Les hommes et les femmes communs sont moins sages que le Cosmos, et les porte paroles du Cosmos, au prix de longues années d'études, ce sont les érudits. Ainsi, les philosophes parvenus au pouvoir ne cessent de contempler l'ordre cosmique intelligible, et établissent les institutions afin que les hommes et les femmes s'harmonisent collectivement avec le Cosmos. Les fondements ultimes de l'ordre social, ce sera le Bien, le Beau, le Vrai, le Juste. La volonté collective des hommes et des femmes ignorants n'a aucune valeur et donc la démocratie n'a aucune valeur.

Une certaine défiance envers les couches populaires peu instruites favorables à un conformisme liberticide existe. Cependant, tous les hommes et toutes les femmes sont perfectibles par l'éducation et la discussion pluraliste. Donc, à condition, d'opposer au pouvoir du peuple, une défense sans concession du droit à l'originalité et au pluralisme, la démocratie ouvert aux femmes, aux ouvriers, aux paysans, est le meilleur système. Il ne s'agit pas d'opposer au peuple des grandes valeurs mystiques, mais d'initier le peuple au calcul collectif des conséquences en terme de plaisir et de souffrance. Les lieux de débat et de mixité sociale, et notamment une forme d'assemblée ou de Parlement comme il existe à Forgefer, sont essentiels.

[PHIL] Pensées, Tome I : Interrogations et Philosophies, Par Gnomius Ombrageâme Psfd10
Représentation d'Anduin Lothar jeune, portant une armure

III ) Les devoirs se limitent-ils, ou non, à ne rien faire qui puisse nuire à autrui ?

Il faut imiter les valeurs intelligibles qui importent plus que les plaisirs et les douleurs des hgommes et des femmes transitoires. Savoir est plus utile qu'ignorer, mais si ce n'était pas le cas, il faudrait quand même savoir, car c'est la grandeur des races intelligibles, leurs places dans le Cosmos. Il y a ainsi des valeurs en soi qu'on ne peut réduire à des valeurs en fonction des conséquences prévisibles sur autrui.

Le Mal n'est pas dérogé à un prétendu ordre sacré. Le Mal c'est priver autrui d'un plaisir ou lui infliger une douleur. Cependant, il ne faut pas se contenter des protagonistes de l'interaction immédiate. Si corrompre une terre, c'est mal, c'est que cela participe à nuire de manière prévisible aux générations futures. Les chaînes causales qui relie l’activité librement choisie et les effets délétères sur autrui ne doivent pas non plus être trop tortueuses et n'être que des prétextes à l'oppression. Les races intelligibles étant laissées à elles-mêmes, elles découvriront que l'altruisme apporte plus de joie que l'égoïsme, alors que si on les force à l'altruisme, ils lui résisteront.

[PHIL] Pensées, Tome I : Interrogations et Philosophies, Par Gnomius Ombrageâme Dalara10
Représentation de la ville de Dalaran datant d'avant la Troisième Guerre

IV ) La véritable liberté est-ce faire ce que l'on désire ou bien, au contraire, de libérer notre désir de l'ignorance et des conditionnements ?

Les races intelligibles sont égarées par leur ignorance, leurs impulsions et par les habitudes personnelles ou collectives. Le seul homme libre est celui qui, guidé par la raison, parvient aux connaissances ultimes et, de là, contemple l'absurdité des comportements de ses frères et sœurs raciaux. La liberté, c'est découvrir ce pour quoi l'homme est fait : le Bien. Les hommes et les femmes qui suivent leurs désirs irréfléchis ne sont pas libres.

La liberté suppose une connaissance des alternatives entre lesquelles on choisit. C'est pour cela qu'il faut être favorable à une éducation primaire obligatoire pour tous les jeunes enfants. Passé un certain âge, l'obligation devient moins féconde que la libre expérimentation par chacun. Nos premiers choix sont emprunts d'ignorance, d'impulsivité, de conditionnement, mais ils deviennent progressivement de vrais choix. La diversité ne se réduit pas à une vérité et une multitude d'erreurs ; cependant tout ne se vaut pas.

[PHIL] Pensées, Tome I : Interrogations et Philosophies, Par Gnomius Ombrageâme Fanart10
Maître-lame Orc de Draenor, date inconnue, vue d'artiste

V ) La quête du bonheur individuel détruit-elle ou non le lien social ?

La recherche du bonheur individuel détruit la cohésion sociale. On ne vénère plus les essences du ciel intelligible, ni la cité, ni les dieux, on se vénère soi-même. De plus, faute de disposition innée, la plupart des hommes et des femmes ne découvriront jamais les joies spirituelles et ils se cantonneront aux plaisirs vulgaires qui opposent chacun à autrui. Il faut réapprendre la vénération des valeurs, de la cité, et des dieux, par le mensonge, la censure, et l'éducation « primaire » des enfants. La culture doit être soigneusement encadrée.

La possibilité d'offrir à un homme ou une femme, la liberté de mener leur vie dans un cadre pluraliste où ils estiment la discussion avec ceux qui diffèrent d'eux, apprennent ce qui les épanouit vraiment. Or, contrairement aux désirs premiers qui portent sur des biens rares exposés à  la concurrence, les plaisirs véritables rassemblent les hommes : le goût de la vérité, de la relation authentique, la responsabilité collective, de la créativité. Ainsi la collectivité a tout à gagner de la recherche bien menée du bonheur individuel. L'individualité n'est pas l'égoïsme. Chacun en développant sa personnalité bénéficie aux autres. A l'inverse, le conformisme généralisé prive la société de l'atout qu'apporte les personnalités originales et prive les hommes et les femmes de nombreuses joies car chacun écoute la coutume du moment plutôt qu'écouter ses vrais désirs.

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Dessin amateur du Sénateur Harkÿn Barbe-Mithril, Vétéran de la Seconde et Troisième Guerre

VI ) La vie réussie est-ce la vie agréable ou la vie digne de l'homme et de la femme ?

La vie réussie est le vie digne. Cependant, contrairement à ce qu'on a peut trouver dans certaines doctrines, l'homme et la femme justes, même opprimés, sont, dans cette vie actuelle, déjà l'homme et la femme les plus heureux. On choisit la vie digne et, de surcroît, sans l'avoir cherché, on a la vie agréable. Nul besoin de sacrifier son bonheur pour faire son devoir. Ce qui est obligé moralement est aussi le plus épanouissant, une fois bien compris. La vie ne conformité avec le Bien, le Beau, le Vrai, le Juste, est atteinte par un esprit de vénération et de contact spirituel qui provoque une conversion et un retournement dans l'ordre de nos priorités. On doit donc se détourner de la quête vulgaire des plaisirs.

Les hommes et les femmes ne doivent pas quitter la boussole qu'est la maximalisation des plaisirs collectifs (n'oubliez pas qu'ici, le plaisir est le bonheur). Pour augmenter le plaisir collectif, il faut d'abord augmenter son plaisir propre, car nous sommes le mieux placé pour cela. A part cela,  les deux pensées se croisent sur le fait que les activités ayant le plus gros potentiel de plaisir n'opposent pas les hommes et les femmes mais les réunissent. De ce fait, l'égoïsme bien compris n'est pas un danger pour le lien social, puisqu'il mène les hommes et les femmes à se réunir. On n'obtiendra pas le bonheur collectif en magnifiant la souffrance, comme le font certaines cultures trolles proches de certains courants Vaudous. En effet, ce qui compte ce n'est pas la qualité de nos intentions mais les effets positifs prévisibles sur autrui. Ainsi l'activité égoïste des entrepreneurs, artisans, est un bien quoiqu'ils ne pensent au pire qu'à leur enrichissement personnel.

[PHIL] Pensées, Tome I : Interrogations et Philosophies, Par Gnomius Ombrageâme Gnome_10
Alchimiste Gnome dans son laboratoire, dessiné par ma charmante sœur

VII ) Pour connaître, faut-il plutôt expérimenter ou réfléchir ?

Observer l'apparence n'apprend rien. En effet, on se perd dans la diversité des cas et on parvient au mieux à un inventaire sans aucune loi qui vient l'organiser. Tout change, tout est divers, tout est soumis à des descriptions partisanes. De plus, nos perceptions enclenchent des attachements et des aversions, rendant l'objectivité impossible. L'urgence, c'est de prendre du recul, de détourner notre attention des cinq sens, pour se retourner en nous, vers le souvenir inné des réalités intelligibles, réalités connues avant la naissance.

Il faut expérimenter et non pas réfléchir. Expérimenter c'est procéder à des inductions, c'est-à-dire, passer d'observations singulières à des conclusions universelles. C'est à ce moment que l'on apprend quelque chose de nouveau. Ensuite, on va procéder par déduction, c'est-à-dire dégager ce qui est logiquement impliqué de la conclusion universelle. On se contente de présenter autrement ce qui est déjà connu, on n'apprend rien de nouveau. Donc réfléchir, être logique, c'est beaucoup moins important que de mener de bonnes expérimentations ou de bonnes observations.

[PHIL] Pensées, Tome I : Interrogations et Philosophies, Par Gnomius Ombrageâme 20748c10
Représentation d'une femme rousse, amoureux inconnu

VIII ) Doit-on suivre en toute occasion la raison ou bien les sentiments peuvent-ils être de meilleurs guides à l'occasion ?

Une position singulière est exprimée ici, rationnelle, dirait-on. Le rationalisme ne consiste pas à désenchanter le réel, le réduire à ce qui est petit. Au contraire, la raison fait découvrir la grandeur du réel. On découvre, guidée par elle, la dimension intelligible. Par ailleurs, la raison n'exclut pas la sensibilité, puisque les grandes valeurs vont être l'objet d'un attachement passionné. Pour s'attacher finalement aux grandes valeurs intelligibles, les choses apparentes, les choses sensibles, ont un double statut. Si on s'y attache définitivement sans voir qu'elles sont des ponts vers le sublime, on se fige et on reste prisonnier du sensible. Si on voit qu'elles sont des ponts, des passages, on aime à travers elles ce qui est au-dessus d'elles. Au-delà de l'homme ou de la femme dont nous sommes amoureux, on aime la Beauté intelligible dont il est une facette.

La sensibilité est importante et l'on pourrait reprocher à certains éducateurs de la négligée. Cependant comme certaines personnes romantiques, on distingue la sensibilité vulgaire et la sensibilité sublime. Aimer est l'une des plus grandes joies mais il ne s'agit pas de consommer l'autre sous l'impulsion de ses désirs animaux. Aussi, l'authenticité et la spontanéité sont plutôt disjoints. La spontanéité est l'expression de notre conditionnement et de notre animalité de créature de chair. Pour être authentique, il faudrait faire un travail sur soi et découvrir notre véritable nature. Il faut se montrer optimiste vis-à-vis de la nature et il ne faut pas croire que la vulgarité soit le dernier mot sur notre vraie nature.

[PHIL] Pensées, Tome I : Interrogations et Philosophies, Par Gnomius Ombrageâme Aman_t10
Représentation possible d'Aman'Thul, dirigeant du Panthéon des Titans, Créateur de l'Univers selon les Nains


IX ) Ce qu'il faut valoriser, est-ce l’Éternel ou le Nouveau ?

Le changement est une incapacité à demeurer identique dans le temps. Les plus grandes choses, les valeurs intelligibles, ne changent pas, elles sont d'ailleurs intemporelles, c'est-à-dire hors du Temps, plutôt que perpétuelles ou durables dans le Temps. Le changement est soit cyclique, il passe toujours par les mêmes phases, soit linéaire, il introduit des phases nouvelles. Le changement cyclique est une imitation imparfaite des valeurs des valeurs intemporelles. Le changement linéaire est un mal, une rupture des amarres.

L'Histoire se déroule vers un progrès ultime, où la joie des hommes et des femmes sera la plus complète possible. Pour cela, il faut innover, c'est-à-dire transformer par la technique et les réformes politiques le monde tel qu'il nous a été laissé par la nature. Donc, on ne cherche pas à s'intégrer au Cosmos, car celui-ci est indifférent aux races intelligibles, et on cherche à produire du nouveau. L’Éternel, c'est le conservatisme contre lequel il faut lutter.

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Représentation rare d'un flux non-identifié, représenté par un homme ayant échappé de peu à la mort

X ) A la mort, où va t-on ?

L'existence des connaissances innées, distinctes des enseignements des cinq sens et de l'enseignement reçu d'autrui, montre que notre âme est plus vieille que notre corps. Notre âme est éternelle et il faut en prendre soin par le choix de nos activités qui la salissent ou non. A la mort, notre âme se sépare du corps et rejoint le ciel intelligible, où en attendant une future incarnation, elle goûte le Bien, le Beau, le Juste et le Vrai.

Les religions ne résistent pas à l'examen rationnel. A la mort, rien de nous ne demeure, excepté notre souvenir auprès de ceux qui nous ont apprécié. Plutôt que l'espoir d'un paradis de lumière, il faut songer à la joie à venir des hommes et des femmes du futur.
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