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 [MAG] Démonologie: Les Serviteurs Démoniaques, Tome I par Gnomius Ombrageâme.

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Gnomius Ombrageâme

Gnomius Ombrageâme


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MessageSujet: [MAG] Démonologie: Les Serviteurs Démoniaques, Tome I par Gnomius Ombrageâme.   [MAG] Démonologie: Les Serviteurs Démoniaques, Tome I par Gnomius Ombrageâme. EmptyLun 24 Juin - 18:50

Vous découvrez sur un petit présentoir un ouvrage d'une taille respectable, reliée à du cuir noir. Une petite note indique dessus que cet ouvrage a été écrit par Gnomius Ombrageâme qui a postulé il y a peu pour rejoindre le Salon et ses membres.



Démonologie : Tome I


Les Serviteurs Démoniaques


Par Gnomius Ombrageâme


 


 


Préambule




La Magie, sous n’importe quelle forme est dangereuse pour son utilisateur, souvenez-vous en. Entre ces pages, vous ne découvrirez pas de noirs rituels ou autres gestes « blasphématoires » mais bien une véritable étude du démonologue que je suis. Au cœur de ces pages, vous découvrirez une documentation concernant cinq êtres démoniaques que les personnes qualifiées de « démonistes » ou de « sorciers noirs » ou autre joyeuseté utilisent pour renforcer leurs pouvoirs ou bien pour les accompagner dans leurs « aventures ». En tant que Maître des Arts Interdits, j’ai moi-même asservi ces démons qui me permettent aujourd’hui d’écrire ce livre car sans informations ou objets d’étude –ou « démons d’étude », si je puis me permettre cette petite touche d’humour bien Gnome-, je ne vois pas quel démonologue pourrait écrire un livre parlant de créatures démoniaques.


La puissance de ces démons est peut-être bien moindre que de nombreux autres démons « supérieurs », cependant leurs pouvoirs restent tout de même impressionnants et redoutables contre leurs adversaires. Un démon est une créature dangereuse, rusée, prête à tout pour atteindre ses objectifs : la méfiance est donc une qualité obligatoire pour tout bon démoniste ou personne souhaitant vaincre ces créatures ou les asservir.


Beaucoup d’informations contenues dans ce livre proviennent de plusieurs de mes petits carnets datant de l’époque où j’étais engagé en Outreterre et où les combats contre des créatures démoniaques étaient relativement très fréquents. La première source de ce livre est donc mon expérience « sur le terrain », notamment en Outreterre mais également de mes recherches personnelles lorsque je n’étais pas encore dans l’Armée de l’Alliance. Mes créatures démoniaques asservies constituent ma deuxième source d’informations. J’ai eu de nombreuses occasions pour les interroger, certains rechignent à parler d’eux ou des connaissances qu’ils détiennent, mais le courroux de leur maître les rappellent vite à l’ordre : c’est ainsi que j’ai pu récupérer nombre d’informations fortes intéressantes pour tout démonologue qui se respecte.


Cet ouvrage n’a pas pour but d’émettre une quelconque propagande en faveur des démons, mais d’apprendre à connaître son ennemi. Les démonistes restent une portion assez marginale des forces engagées dans l’Alliance, la présence de démons asservis est donc assez faible sur les champs de bataille. Donc, il est intéressant pour moi de fournir cet ouvrage de ma concoction pour offrir une chance à certains de savoir quelle créature peut se retrouver devant eux, quels sont leurs pouvoirs, car ils en ont comme tout être de cet univers.




 


Chapitre 1 : l’Invocation et l’Asservissement


 


La science de l’Invocation


 




L’Invocation est un art magique délicat, complexe et extrêmement dangereux. L’Invocation de créatures démoniaques est d’autant plus dangereuse dans la mesure où une simple faute dans la préparation des composants ou dans les paroles incantatoires peut faire apparaître devant vous une créature plus redoutable, plus apocalyptique que celle que vous souhaitiez au départ, et je ne parle même pas du risque de mourir dans les deux prochaines minutes des mains du démon fraîchement invoqué suite à un rituel raté (si bien sûr le démon invoqué est plus puissant que l’invocateur). L’Invocation réussie d’un démon dépend de deux choses : les composants utilisés pour le rituel et les incantations. Ces éléments constituent un rituel réussi : un seul faux pas et c’est un échec assuré. L’Invocation, comme d’autres magies, est exacte. Aucune approximation n’est permise.


Les incantations sont communes aux démonistes, toutes races confondues. En effet, les incantations utilisées par la majorité des démonistes (et les plus sensés) sont en Eredun : langage antique et millénaire utilisé autrefois par les Draeneïs sur Argus, il a perduré ensuite grâce ou à cause d’Archimonde le Profanateur et de Kil’Jaeden le Trompeur (tous deux des Erédars corrompus par le Titan Noir) et des nombreux érédars ayant rejoint la monstrueuse Légion Ardente. Cependant, la partie « raciale » du rituel est la liste des composants : selon le démon et selon l’origine de l’invocateur, cette partie est extrêmement variable. Si je prends mon cas personnel comme exemple, je me rappelle que lors de mon premier rituel d’invocation, j’ai utilisé des « charmes de plume » venant de la tribu des Crin-de-Givre en Dun Morogh. Ce qui compte dans les composants, ce n’est pas leur origine ni leur manufacture mais bien leur qualité magique. Vous seriez étonnés de connaître la liste des composants nécessaires pour l’invocation de certains démons dont je parlerai d’ici quelques lignes : certains sont si communs et dérisoires que cela peut paraître comme une chance qu’Azeroth ne soit recouverte de démonologues amateurs (ce qui serait extrêmement dangereux, j’en conviens).


L’Invocation est donc une science magique exacte qui ne doit pas être prise à la légère : une erreur peut être rapidement fatale. Heureusement, la majorité des démonistes encore en vie de nos jours connaissent assez bien leurs rituels « de base », ce qui évite largement des invocations de démons imprévus ou de dangerosités monstrueuses. Un démoniste ne connaissant pas ce qu’il invoque est un démoniste avec une espérance de vie peut reluisante.


 


L’Asservissement des créatures démoniaques


 




L’asservissement de démons est un acte à la fois magique et mental. En effet, pour asservir un démon il ne suffit pas de réciter bêtement une formule en Eredun en espérant que cela marchera –ou du moins je l’espère pour votre existence- et que la créature subissant votre sort se laissera faire en vous regardant béat. L’asservissement est une épreuve dangereuse, parfois violente qui est cependant nécessaire si vous souhaitez ajouter un démon en plus dans votre « collection ». L’asservissement est également un acte mental : c’est votre volonté propre qui détermine le pourcentage de réussite de votre action. C’est également un acte humiliant pour le démon qui se voit désormais soumis à l’autorité d’un simple mortel, gardez à l’esprit qu’une telle créature ne sera jamais votre alliée –ou du moins en général- et tentera toujours de se libérer de votre emprise. Un démoniste ne doit JAMAIS relâcher son emprise sur une créature démoniaque, sous peine de se faire manipuler par elle ou de vous faire tuer bêtement par cette dernière.


Plus un démon est puissant, plus il possède de volonté propre : malgré une grande puissance, un démoniste sera un jour toujours limité à un certain stade qu’il ne devra pas franchir. Je cite l’exemple d’un défunt collègue Gnome au Tournoi d’Argent durant l’ultime guerre contre le Fléau en Norfendre. Wilfried Flopboum réussit à invoquer un puissant Eredar dans le colisée, tentant vainement de l’asservir à sa volonté, ce gnome devint un exemple pour de nombreux démonistes : si vous essayez de contrôler une chose beaucoup plus puissante que vous, vous mourrez. Wilfried Flopboum mourut ainsi, aveuglé par son propre pouvoir et pensant être plus puissant qu’un Eredar.


Pour revenir aux démons plus « classiques », un démoniste devra invoquer la créature puis l’affronter dans un combat à mort, si l’invocateur l’emporte la créature se soumettra. Dans le cas contraire, vous décèderez violemment, sans gloire et vous aurez attiré une dangerosité démoniaque sur notre vénérable planète : Azeroth. Dans le cas où le démoniste réussit, la créature est désormais liée et soumise à son autorité. Les démons soumis par ce rapport de force résident dans le Néant Distordu ou ailleurs (dans le cas des serviteurs provenant du Vide) et peuvent être appelés à tout moment par leur nouveau maître, ce que ces créatures apprécient très peu, en vérité. Ayant été soumis, ils ne peuvent se dérober à cet appel tant que le démoniste est encore en vie. Un démon ne peut guère être soumis à plusieurs démonistes en même temps : chaque démon est unique et possède un nom propre. Si vous connaissez le véritable nom d’un démon, vous aurez un atout en main considérable pour l’invocation et l’asservissement.


Il y a donc deux types d’asservissement : le premier est un acte de soumission du démon (vaincre le démon pour le contrôler par la suite) pour une période indéterminée (déterminé par un pacte ou tout simplement un rapport de force à l’avantage du maître), le second est un acte momentané : contrôler un démon sans l’avoir vaincu requiert plus de volonté et de puissance (ce qui veut dire qu’un démon asservi non soumis auparavant à votre autorité ne sera à vos ordres que durant une durée limitée).






 




Chapitre 2 : Les Démons Mineurs





 




Les « faibles »





 


Les démons que je qualifie de « faibles » sont les principaux serviteurs des démonistes dans la mesure où ils sont extrêmement nombreux, relativement facile à invoquer et à soumettre (cela dépend bien entendu du démoniste et de ses compétences). Cependant, il ne faut jamais oublier que ces créatures restent des démons avec une volonté propre et que si le démoniste commence à les considérer comme des collaborateurs amicaux et loyaux, c’est qu’il est déjà trop tard. Il est également à noter que tant que vous remplissez les parts de votre pacte avec le démon (s’il y en a un), le démon vous restera fidèle. On peut également voir qu’une certaine « complicité » peut s’installer avec le principal serviteur des démonistes : le diablotin, mais nous y reviendrons car c’est une exception à la règle.

Le Diablotin


Spoiler:


Gnomographie de mon Diablotin personnel




Les Diablotins font partis de ces démons « faibles » qui appartiennent à la Légion Ardente. Leur invocation est assez élémentaire et constitue un bon entraînement pour tout bon démoniste qui se respecte. Les Diablotins sont petits, frêles, râleurs et moqueurs. Les Diablotins sont les premiers démons habituellement invoqués par les démonistes de par leur « faiblesse », cependant méfiez-vous : un Diablotin est et restera dangereux. Ces attaques de feu gangrené sont particulièrement virulentes, pour tout le monde : démon comme mortel. Ces petites créatures ont également la capacité de se glisser entre deux plans, rendant toute attaque physique impossible contre eux. Ce démon est habituellement le plus fiable de ceux utilisés par les démonistes pour la raison suivante : le Pacte de Sang. Une fois soumis, le démoniste rappelle son nouveau serviteur : ce dernier réapparaît et propose un marchandage. Le marchandage consiste à une forme d’allégeance : en échange d’une protection (voir d’autres revendications), le Diablotin jure de servir au mieux son maître. La valeur de ce pacte est immuable (du moins, tant que le démoniste est en vie ainsi que son âme) car il est scellé par le sang. Ainsi le Diablotin ainsi que le démoniste scellent leur accord en échangeant leurs sangs respectifs. Le démoniste reçoit donc moult avantages grâce à ce nouveau sang arrivant dans son corps et le Diablotin obtient ce qu’il veut.

Pourquoi un diablotin voudrait-il une protection d’un mortel ? Tout simplement parce que les Diablotins sont des démons mineurs qui sont très mal considérés par leurs supérieurs au sein de la Légion et qu’ils se font facilement brimés par leurs camarades démoniaques. Ainsi le démoniste apparait comme une solution de choix pour se venger de leur ancienne condition et d’échapper à ces brimades.

Le Diablotin est donc le compagnon de choix d’un démoniste car quoi qu’il fasse, le pacte scellé devra être respecté par les deux parties. Ainsi, jamais un Diablotin n’a et pourrait se retourner contre son maître.




Le Marcheur du Vide

Spoiler:




Gnomographie de mon Marcheur du Vide


Les sombres et mystérieux Marcheurs du Vide ne sont pas des démons comme les autres. En effet, la majorité de ces créatures n’appartiennent pas à la Légion Ardente mais à la « faction » du Vide. Ces créatures ressemblant à une grande masse mauve-bleue-pourpre ont des origines mystérieuses et de sombres pouvoirs. Nul ne sait réellement comment les créatures du Vide se créent, certains pensent même que ce ne sont pas de véritables démons. En effet, jamais vous n’avez vu je pense des Marcheurs du Vide auprès des forces combattantes de la Légion, n’est-ce pas ? C’est normal, rassurez-vous. Les créatures issues du Vide sont de puissants amas d’énergies qui doivent continuellement renouveler leurs forces vitales : ainsi vous trouverez aisément des spécimens de ces « choses » proches des failles d’énergies arcaniques, ou près de n’importe quelle source de magie incontrôlée : en Outreterre, il est aisé de trouver des failles de ce type et de voir ces créatures pullulées autour. Il est également à noter que le Vide n’est pas le Néant Distordu, ce qui est un détail important. Il est donc à noter que les seuls représentants du Vide présents sur Azeroth des êtres invoqués et asservis par des démonistes. Les brassards présents aux « poignets » -si l’on peut appeler cela ainsi- rappellent qu’ils sont soumis à l’autorité d’un maître. Le personnage majeur de cette race reste le fameux Dimensius envers lequel le Consortium voue une haine sans fin pour avoir grignoter leur monde. Ce qui prouve que pour survivre, les créatures du Vide doivent se nourrir d’énergies magiques ou d’âmes. Un démoniste trouvera ce « démon » de grande utilité dans la mesure où il est extrêmement résistant aux dégâts physiques et qu’il est capable d’infliger de lourds dégâts à son adversaire de par sa capacité à tourmenter facilement l’âme de l’ennemi (et grâce à la force de ces bras aussi). L’asservissement est le meilleur moyen de contrôler cette créature : il suffit de la vaincre puis vous pourrez en disposer comme bon vous semble. A noter que tant que vous lui donnez « suffisamment  à manger », aucun problème ne devrait apparaître avec cette créature du Vide.

La succube



Spoiler:


Gnomographie de ma succube prise en Désolace


Les Succubes appartiennent à la même race que les Shivarras (nous y reviendrons dans le Tome II) : la race Saayad. Les succubes figurent parmi les démons mineurs les plus rares au sein des forces de la Légion Ardente mais elles n’en sont pas moins redoutables. Elles compensent leur rareté par leur incroyable sadisme et grâce à leurs qualités en tant qu’interrogatrices et bourreaux. Il est à noter qu’elles combattent toujours avec un fouet qu’elles manient avec une incroyable dextérité manuelle. La succube est un démon d’autant plus redoutable qu’elle utilise sa magie pour ensorceler leurs ennemis humanoïdes –j’aurai nombre d’anecdotes à vous raconter à ce sujet-là, d’ailleurs…- et ainsi les plonger dans un état de béatitude bien souvent mortel. Les Succubes sont des démons possédant deux ailes (elles ne volent pas avec), deux cornes sur leur front, des yeux illuminés d’une essence bleutée, des jambes rappelant celles des satyres et un corps assez attractif pour ces messieurs les hommes (personnellement, je préfère les femmes Gnomes qui sont beaucoup plus…Intellectuelles ?). Un contrat peut être engagé avec une telle créature sur différents critères : satisfaire leur incroyable sadisme (j’ai négocié cela, personnellement), leur appétit sexuelle, ou certainement plein d’autres options que je n’ai pas eu le temps de vérifier. La majorité des succubes que vous pourrez rencontrer sont soit soumises à un démoniste, soit en Outreterre. Il est également à noter que l’on en trouve assez régulièrement sur certains sites encore corrompus par la Légion Ardente en Kalimdor.



Le Chasseur Corrompu ou le Gangrechien





Spoiler:


Gnomographie de mon Chasseur Corrompu


Le Chasseur Corrompu (ou le Gangrechien) est un démon dévoreur de magie à l’instinct animal. En effet, au-delà du fait qu’il puisse mordre et vous arrachez facilement un bras, il se nourrit de magie arcanique ou pas. A la différence des démons précédents, le Chasseur Corrompu n’a pas de langage parlé ce qui ne cause aucun problème aux démonistes, qui transmettent leurs ordres à leurs serviteurs par la pensée. Ce sont des prédateurs, des chasseurs rusés, bestiaux et sanglants : c’est un démon souvent utilisé par la Légion lors des patrouilles et des chasses, car magiciens ou simples combattants, le Chasseur Corrompu sera efficace. Les utilisateurs de magie redoutent ces créatures car elles sont capables d’user leur réserve de mana (pour se nourrir) et d’interrompre leurs sorts voir d’empêcher d’en lancer durant un laps de temps relativement cours, mais suffisant pour mourir. Ces créatures ne peuvent réellement faire un pacte avec leur maître, une fois que vous l’aurez vaincu, il vous suivra comme un bon chien de chasse Gilnéen et comme tout animal domestique : si vous ne le nourrissez pas, il deviendra agressif envers vous ou d’autres. Le Chasseur Corrompu ne possède pas de véritables organes de vision, ils utilisent ses sens et sa vision des flux magiques pour se mouvoir dans son environnement : ce qui en fait une arme de choix pour tout démoniste qui se respecte. Les sortes de « lianes » que l’on peut voir apparaître sur son corps forment son mode de combat et d’alimentation : ces deux lianes sont utilisées pour littéralement pomper la ressource magique dans la victime (ce qui entraine également une hémorragie). Ces démons sont redoutables mais fidèles envers leurs maîtres. Vous trouverez la majorité de ces êtres en Outreterre ou dans certains points de chute de la Légion Ardente en Kalimdor ou encore aux côtés de certains démonistes.

Le Gangregarde



Spoiler:


Gnomographie de mon Gangregarde personnel, dans la Vallée d'Ombrelune


Les Gangregardes sont des démons d’une relative importance au sein de la Légion Ardente. En effet, les Gangregardes constituent une des principales unités d’infanterie de la Légion. Ces derniers sont équipés d’armures lourdes recouvrant leurs jambes et leurs bras noirs (bleu voir jaune dans certains cas) ainsi qu’une partie de leur tête. A noter également que des protubérances en métal sortent du haut de son dos, de manière assez anarchique. On peut penser que ces bouts de métaux ont été implantés après leur « naissance ». De récentes recherches en Outreterre me permettent de dire que les Gangregardes appartiennent à la même race que les Mo’args et les Gan’args : ce qui est très étonnant en vérité. Les Gangregardes sont des guerriers féroces, armés lourdement alors que les Mo’args et les Gan’args sont des forgerons et des ingénieurs de petite taille et n’ayant aucune prédisposition au combat. Un mystère qui en restera un pendant longtemps je pense, car à ce sujet je n’ai rien pu apprendre de mon serviteur. L’utilisation d’un Gangregarde par un démoniste nécessite une très grande connaissance en démonologie car il faut percer certains secrets sur leur invocation pour pouvoir les utiliser. Tant que vous lui apportez des cibles à exécuter, votre Gangregarde vous restera fidèle et ne tentera pas de se rebeller, même s’il ne vous aime pas. Les Gangregardes ont des armes de prédilection : hache, masse, épée, le point commun est le suivant : toutes leurs armes sont adaptées à leur taille, elles sont démesurément lourdes et impressionnantes.

Conclusion et remerciements


 




Les démons restent des êtres dangereux et redoutables : il serait hautain et stupide de sous-estimer leurs forces. Cependant, pour les démonistes responsables et sensés, il est bon de souvenir qu’un démon en reste un et qu’il faut se fier qu’à soi-même. Un démoniste écoutant trop ses démons deviendrait un pantin assez rapidement, il ne faut pas oublier la nature de base de ces êtres : l’envie de détruire et d’instaurer le chaos.


Je vous remercie de bien avoir lu cet ouvrage, j’espère qu’il vous a apporté quelques connaissances sur ces démons relativement communs que vous pourrez rencontrer aisément si vous allez au bon endroit. Ce premier ouvrage n’est que le premier tome, le second arrivera sous peu, mais je soumets déjà celui-ci à votre humble jugement de lecteur, je précise d’ailleurs à ce propos qu’aucun lapin n’est mort durant la réalisation de cet écrit, c’est un détail à préciser.




 


Gnomius Ombrageâme

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Dernière édition par Gnomius Ombrageâme le Lun 24 Juin - 23:21, édité 1 fois
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Raedric Stornfeld
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